Sous l’égide de l’association CulturFoundry et de Frédéric Lorin, l’exposition Le Regard du Temps rassemble dix-neuf artistes. Parmi eux, Laurent Saksik. Interview par Anne Kerner.
Anne Kerner : Pouvez-vous me parlez de l’œuvre que vous présentez à l’exposition ?
Laurent Saksik : Titre GhostLamp. Le sujet ’est le premier jour de la génèse. Peinture faite à l’acrylique à l’aide d’algorithme. Elle n’a aucune signification, elle est plutôt un espace de contemplation : la lumière figurée révèle un espace en le voilant. Je vois renvoie à Jérôme BOSCH, triptyque de la création (fermé : Genèse 1,2) entre autre.
A. K. : Comment votre œuvre s’intègre au thème de l’exposition « Le Regard du temps » ?
L. S. : Le premier jour de la génèse, c’’est le début de l’histoire du monde, avant même l’invention du temps. Pour rappel voici le texte en question. La traduction est très mauvaise, mais cela vous donnera l’orientation du travail.