«Le capitalisme a certes fait de l’œuvre d’art une marchandise comme une autre ; pour autant, l’art impose une valeur idéelle, irrationnelle, flottante voire gazeuse, du zéro à l’infini (ou presque), car il touche à l’inquantifiable : le désir, le plaisir, le rêve, la pulsion, et exacerbe ce que Karl Marx appelait : « l’énigme de la valeur », explique le commissaire de l’exposition Marc Bouhours. 200 pièces de toutes époques se répartissent dans les différentes salles et thématiques tel « La morale chrétienne de l’argent », « Le monde de la finance », « La valeur de l’art : que vend l’artiste depuis Duchamp ? » ou encore « L’Argent exhibitionniste ».