« Jeff Kowatch témoigne d’une recherche aussi exigeante qu’originale : celle de la musique du monde. Tantôt tonitruante et féroce; tantôt délicate dans ses polyphonies. Un monde de lumière qui évoque aussi bien le Monet tardif et ses nymphéas féeriques que le Rothko mystique qui dénoue dans ses champs de couleurs pures la diversité d’un monde voué au seul spirituel. Entre l’assomption jubilatoire des pastels luxuriants et la calme méditation des grands tableaux où les formes trouvent leur équilibre passe une même respiration ». Michel Draguet, Directeur Général des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique,
C’est à Bruxelles où réside désormais ce californien ayant également travaillé quinze ans à New York, que nous avons découvert la très belle oeuvre picturale de Jeff Kowatch. Sur les murs de la galerie, comme aujourd’hui rue des Beaux-Arts à Paris, s’étendent de merveilleuses toiles où l’artiste peint au bâton à l’huile sur Dibond. Le geste ample et zen, un équilibre quasi parfait entre l’instant et l’éternité, les couches de couleurs posées à l’infini dans un mouvement circulaire perpétuellement répété, livrent d’extraordinaires glacis ouatés, organiques, qui jouent aussi bien avec votre regard, votre coeur et votre âme.
