Agnès Geoffray aime la grâce… et la disgrâce fatale. Elle regarde devant mais aussi derrière elle. L’artiste collecte et se penche sur des plaques de verre d’anonymes du XIXème, des gravures de maîtres anciens, des couvertures de livre. Ici une main, là un papillon, ailleurs encore des yeux. Dans sa tout dernière série La Chute, air et eau se mêlent des environnement où les corps féminins accusent une forte solitude : ses héroïnes portent des robes vaporeuses et jouent avec la lumière du ciel et de la mer. Une oeuvre tournée vers le passé qui vous livre des éclats de lumière pour l’avenir.